Une formation , mais après?

Nelly Sebon • 30 mars 2022

Et après la formation...un parcours supervisé

18 mois de formation, 2 jours de Certification et après?

Très souvent l'objectif de devenir sophrologue est clair mais la réalité de terrain de ce métier n'est pas toujours aussi clair pour les sophrologues nouvellement certifiés, qui , après quelques mois d'un parcours chaotique pour se faire connaître décident de ne pas aller jusqu'au bout de leur rêve.


Notre école à taille humaine, notre équipe de sophrologues de terrain,  mobilisent tout leur professionnalisme pour accompagner nos stagiaires et sophrologues sur le chemin de la réussite professionnelle.

Après les avoir accompagner en tutorat pendant toute la durée de la formation, nous proposons à ceux qui le désirent une supervision de pratique professionnelle et un accompagnement réflexif sur leur progression de sophrologue professionnel.

Parce que  devenir sophrologue, c'est valider des savoirs, savoir faire et savoir être, nous privilégions une réflexion commune sur notre métier, programmons des ateliers de  pratiques et voyages thématiques en post formation.

Etre sophrologue ne définit pas seulement un métier,

Etre sophrologue est avant tout un art de se vivre au quotidien!


par Nelly SEBON, directrice Ecoles de sophrologie caycédienne de Paris, Reims 22 juillet 2020
Nelly Sebon, directrice des écoles de sophrologie caycédienne de Paris Reims et Caen vous invite à vous installer confortablement et à vous autoriser à vivre une parenthèse . Un temps rien que pour vous qui pourra vous familiariser avec l'enseignement des plus de cinquante protocoles que nos stagiaires vivent en formation et conquièrent pour valider leur "Certificat de Sophrologue Professionnel". un exemple de ce que vous pourrez vivre tout au long de la formatio 
par Nelly SEBON, Directrice 8 juillet 2020
Avoir découvert la sophrologie dans son environnement professionnel ou pour un événement de la vie personnelle ( grossesse, examen, gestion du stress...) peut être une étape importante dans la décision de se former au métier de sophrologue mais étape non suffisante pour comprendre les rouages d'un métier qui engage la relation à autrui et la gestion émotionnelle. Devenir sophrologue nécessite un véritable apprentissage tant de la relation à autrui, que de l'appropriation des outils indispensables à une utilisation appropriée de la méthode. Aussi devenir sophrologue dans nos écoles de sophrologie caycédienne de Reims, Paris et Caen passe inexorablement par un entraînement de tous les exercices qui composent les bases fondamentales de la sophrologie, soit plus de 50 exercices au total qui seront travaillés mais également repris sous différents angles ( entraînement personnel, ateliers de mise en situation pratiques...). C'est ce que nous nommons la répétition vivantielle. " Toute action sur une partie de l'être se répartit sur la totalité de l'être" avait tendance à dire le Professeur Caycedo, fondateur de la méthode et l'entraînement à la méthode constitue un des piliers de la Sophrologie. Qui dit pilier désigne un fondement solide qui va permettre non seulement d'expérimenter sur soi mais également de comprendre ce qui se joue dans les protocoles enseignés:le lien avec les concepts travaillés en cours, les ressentis possibles que nous expérimentons mais également qu'expérimentent les autres participants à la formation. C'est pour cela que la pratique et la répétition devient un des éléments majeurs de la formation. Se former pour comprendre, se former pour expérimenter, se former pour dévoiler, se former pour conquérir , se former pour devenir un sophrologue de compétence. Dans notre philosophie d'enseignement,identique à celle du professeur Caycedo, très impliqué dans le respect de 'humain , l'entraînement aux différents exercices qui sont enseignés tout au long de la formation au métier de sophrologue, nous accompagnons nos stagiaires dans la compréhension de chacunes des étapes qui vont faire de leur consultation une consultation de qualité . Cet entraînement va prendre différentes formes. Dans un premier temps, les exercices sont tous vécus "on live" avec la formatrice pour une expérimentation sur soi des objectifs de la pratique. Etape suivie d'un "retour d'expérience" appelé aussi "phénodescription " que chacun des participants va présenter. Cette étape constitue également un temps formatif aux mécanismes de l'écoute d'autrui, de son respect bienveillant, de la parenthèse qui se poursuit. Puis l'entraînement va prendre une autre forme, celle de l'intégration des étapes qui constituent la séance et que le sophrologue aura à reproduire, en toute adaptabilité avec la personne ou le groupe que suivra le sophrologue. Cette étape, pratiquée en intersession est tout aussi importante et est supervisé par un sophrologue qui va valider, là encore et parfois pointer des éléments essentiels qui se jouerait dans une consultation. Puis vient une autre étape de répétition des exercices, celle où les stagiaires pratiquent en cours les exercices dans une situation de consultation ou de pratique de groupes. Voici pourquoi notre enseignement ne s'arrête pas qu'à un enseignement mais à un accompagnement individualisé et supervisé qui fera des futurs sophrologues que nous formons des sophrologues impliqués et professionnels.
par Nelly Sebon 8 juillet 2020
L'école qui va vous accompagner dans votre projet de formation est très importante mais avant de la choisir, outre le prix, le mode de financement, c'est toute la stratégie pédagogique , l'équipe de formatrices, formateurs qui vous accompagne et le mode d'accompagnement qui compte. Savoir se poser et oser se poser plusieurs questions: "Quel type de professionnel(le) ai-je envie d'être face aux personnes, parfois en grande difficulté, que j'aurai à accompagner?", "Quel professionnel(le) aimerai-je consulter si j'étais amené(e) à le faire: son professionnalisme, sa connaissance aboutie de la méthode utilisée, sa capacité à me rassurer, sa capacité à s'adapter à mon cas?" Toutes ces questions orientent déjà sur un point particulier et essentiel: la formation de sophrologue. Quelle formation choisir, courte, longue, trop longue? Mais que signifie le paradigme temps quand celui-ci est indispensable pour devenir maître de sa pratique et en faire un métier digne de ce nom. Le temps est celui de l'apprentissage, de l'intégration de plus de 50 protocoles (enseignés dans nos écoles ESOCAY-Paris/Caen et ESCCA-Reims ), de l'appropriation pour soi pour une meilleure restitution pour autrui . Il s'agit avant toute chose de pouvoir s'adapter dans son quotidien de sophrologue. Faire preuve de sagesse et d'humilité . Devenir et être un professionnel de la relation d'aide qui répond à une demande toujours unique et qui fait que sa pratique et réputation. Etre sophrologue passe donc, dans un premier temps, par le choix mû d'une volonté à être un professionnel assuré de sa compétence . Il ne s'agit pas d'être un professionnel ayant choisi de "sauter le pas " de la reconversion. Cette seule condition n'est pas le gage exclusif du bon choix de l'école. En effet dure réalité que de croire que le passage du salariat (la majorité de nos élèves), du chômage, à la réalité de libéral (le plus souvent choisi par les sophrologues issus de la formation) est chose aisée et qu'elle peut se réaliser en quelques mois. Ce changement de réalité professionnelle nécessite une autre vision de son engagement dans la formation. Il ne s'agit pas d'aller vite dans sa formation mais d'aller à son rythme pour mieux s'approprier les gestes du sophrologue, sa condition de professionnel, ses obligations administratives, comptables, fiscales... Il est indispensable de connaître et de maîtriser son art. Mais que signifie cela? Il ne s'agit pas d'être porté par l'humain pour savoir l'accompagner . Il ne s'agit pas de savoir conseiller pour pouvoir s'appuyer sur des techniques apprises. Il ne s'agit pas de piocher au gré de son savoir mais de s'adapter à la personne, son symptôme, sa difficulté, sa réalité objective et la porter vers ses potentiels à redevenir acteur, actrice de sa vie et devenir autonome . communication et recherche de patientèle, pérennité de son entreprise, charges...
par Nelly SEBON, Directrice 15 janvier 2020
Vouloir se former pour devenir sophrologue est un vrai choix de vie qui va engager une rigueur éthique et un engagement personnel, une philosophie de l'être dans sa relation à l'autre. En effet, se former n'est pas seulement vouloir accéder à un savoir, c'est prendre conscience des transformations que cela engage . Accéder à une nouvelle façon de considérer sa relation à autrui pour pouvoir l'accompagner au mieux dans ses chemins de vie. Mais cela demande une compréhension aboutie des outils, concepts et méthodologie qui seront utilisés afin de permettre à la personne de conquérir son autonomie et sa dignité. C'est permettre à la personne, qui viendra consulter ou pratiquer en groupe, de comprendre les mécanismes qui sont engagés afin que la séance ne se vive pas comme une simple pratique de relaxation. "Allongé, le corps s'oublie" nous disait le professeur Caycedo. C'est pourquoi la Sophrologie a évolué dans sa pratique et que nous allons privilégier la posture debout ou assise. Se vivre dans le corps pour en expérimenter ses forces et potentiels pour pouvoir s'appuyer sur lui et révéler ses capacités et nouvelles façons d'agir et de ré-agir. Il est ainsi indispensable que le futur sophrologue expérimente chacune des étapes que le "sophronisant" ( celui qui pratique la sophrologie) va être amené à vivre. Un enseignement rigoureux de la sophrologie est donc un enseignement qui passe par l'appropriation des exercices et de la prise de conscience progressive qui va mener vers la découverte, conquête et transformation. Se former dans une école de sophrologie caycédienne à taille humaine, c'est pouvoir toujours rester à l'écoute de son humilité dans sa relation à autrui. C'est apprendre l'adaptabilité de la sophrologie quelque soit le champ d'application et pouvoir œuvrer avec art à l'action positive qui mène à l'autonomie.
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